L’objectif est de placer deux panneaux didactiques et ludiques le long du halage de Dinant. C’est un endroit où nous encourageons le développement de fleurs sauvages indigènes du printemps à l’automne. Les panneaux que les enfants (et les adultes) pourront manipuler leur permettront d’identifier les fleurs qui poussent à cet endroit, de découvrir leurs moments de floraison et leur richesse. Nous voulons rendre leurs lettres de noblesse à ces plantes qui sont trop souvent considérées comme des « mauvaises herbes » alors qu’elles participent à la préservation de la biodiversité.

Le Contrat de rivière Lesse ASBL ayant pour mission de protéger les rivières de son sous-bassin, nous proposons d’engager des river stewards pendant l’été 2024. De manière proactive et grâce au dialogue, ceux-ci rappelleront les bonnes pratiques et sensibiliseront tous ceux qui profitent du cadre enchanteur de la Basse Lesse entre Houyet et Anseremme.

Pour une meilleure cohabitation entre les usagers et un plus grand respect de cette merveilleuse rivière !

Venir en aide aux personnes âgées et nécessiteuses qui désirent une remise en état de leur jardin, de leur potager. Ceci dans un souci de préservation de la faune et la flore, d’aggradation de la biodiversité et en valorisant les déchets du jardin.

Nous sommes « Les Amis de Bauche », une petite association de voisins et amis du hameau de Bauche situé sur la commune d’Yvoir. Depuis bientôt 2 ans, nous nous réunissons tous les mois pour un apéro en plein air en mode auberge espagnole.
C’est toujours très joyeux, des liens se tissent, des services sont demandés et reçus, des souvenirs sont évoqués et des projets sont élaborés…
Grâce à cet appel à projet, nous aimerions concrétiser un de nos vœux, à savoir l’installation de mobilier urbain sur un petit bout de gazon au centre du hameau : tables de jeux, de pique-nique, bacs de culture, bac à sable…
Ce mobilier pourra être fabriqué par des artisans locaux et sera installé par nous, en toute autonomie, solidarité et bonne humeur.
Et évidemment il pourra servir à tous : promeneurs, vttistes, traileurs, cavaliers, touristes etc qui traversent très souvent notre joli petit hameau.
Alors faites de notre projet le vôtre. Merci de voter pour le projet n°5.

L’asbl Souffle un peu est un centre de répit et un centre d’activité citoyenne pour personne porteuse d’un handicap.

Notre projet est l’achat et l’installation d’une nouvelle cuisine pour répondre aux normes AFSCA afin de lutter contre le gaspillage alimentaire.
Comment lutter contre le gaspillage ? Par les activités citoyennes : les personnes porteuses d’un handicap léger à modéré de la commune d’Yvoir et alentours vont récupérer les invendus des magasins.
Ces invendus vont être transformés en bocaux ou mi sous-vide grâce à la nouvelle cuisine et à l’achat de l’appareil à mettre sous vide
Les réalisations seront distribuées soit au CPAS d’Yvoir et/ou au colis du cœur d’Yvoir et/ou à solidarité Dinantaise

L’ASBL Le Tremplin, située au cœur de Dinant, se positionne en tant que centre de formation et d’insertion socioprofessionnelle dédié aux individus éloignés du marché de l’emploi. Engagée activement dans des initiatives d’économie sociale, l’ASBL favorise la circularité économique à travers diverses activités telles que notre ressourcerie et notre magasin de seconde main.

Dans le cadre du projet « BâcheUp Bags », notre objectif principal est de donner une nouvelle valeur aux bâches publicitaires en PVC en les transformant en sacs originaux et esthétiques. À travers cette démarche novatrice, Le Tremplin aspire à jouer un rôle significatif dans la préservation de l’environnement en offrant des alternatives durables et accessibles.

Un car-port et barbecue pour palabrer.
Pour permettre de rassembler toutes les générations autour d’un moment festif et convivial, ce projet renforcera les liens entre les générations , les familles, les promeneurs.
Votez pour ce beau projet qui rassemble les gens pour mieux se connaitre et s’apprécier, vivons dans un monde de partage.

Le projet citoyen du Jardin collectif de Denée vise la prise de conscience et l’action concrète pour augmenter la biodiversité-nourricière et renforcer les liens sociaux autour de la question de la résilience locale et de la nécessaire protection de l’environnement.

Nous avons pour objectif en 2024 de renforcer l’aspect social du lieu, de diversifier les rencontres et activités et de prolonger celles qui fonctionnent déjà bien. Nous voulons également renforcer nos partenariats.

Le projet «Le ré-ensauvagement de l’abeille » a vu le jour suite à une formation en apiculture naturelle donnée en 2023 sur la commune d’Yvoir. 3 citoyens ont voulu aller plus loin et agir concrètement pour les abeilles et, ça coule de source, pour la biodiversité.
Concrètement, le « ré-ensauvagement de l’abeille », c’est réimplanter des colonies d’abeilles mellifères dans la nature, donc 100 % libres et sauvages. Le but est d’éviter la disparition des abeilles, pour qu’elles puissent continuer leur rôle de pollinisation indispensable à la biodiversité. Notre projet consiste donc à créer les bonnes conditions pour favoriser l’implantation de colonies autonomes et résistantes, dans leur milieu naturel.

Action sur 3 plants :
1. L’abeille : Un rucher de biodiversité pour créer des colonies résistantes et autonomes. Un lieu avec 10 ruches refuges, où se pratique une apiculture qui respecte la nature de l’abeille. C’est à partir de ces ruches que des colonies pourront petit à petit retourner vers la nature et y vivre en autonomie et en liberté.
2. Son environnement : Une foret nourricière
Plantations à proximité directe du rucher pour agir sur les ressources mellifères et sur les habitats naturels de l’abeille. En partenariat avec l’association Semisto implantée à Yvoir et l’institut Mariette Delahaut à Jambes.
3. La transmission, le partage : Animations – sensibilisation et formation

Pour des enfants, des ados, les adultes, les apiculteurs amateurs, les ruchers écoles, etc. Dans un premier temps avec les écoles communales et les maisons de jeunes des 6 communes, ainsi qu’avec les collectivités ou citoyens qui nous signaleront un intérêt.
Soutenir notre projet c’est poser un geste fort en faveur de la biodiversité, c’est promouvoir une apiculture différente qui prend en compte le bien-être de l’animal et la survie de l’espèce. c’est créer une émulation et du lien lors de la réalisation des projets de terrain, et, lors des partages et des animations autour de ces sujets qui nous passionnent.

Si nous rendions les enfants à la nature et la nature aux enfants ?
Notre parcours 
Depuis 2010, Lilocabanes offre aux enfants, dès leur plus jeune âge, un espace dédié à l’expression et à la créativité. Les stages et ateliers se déroulent principalement dans un jardin d’éveil sensoriel et une grange aménagée aux goûts des enfants, situés au cœur des campagnes et des bois d’Annevoie. À ce jour, l’ASBL compte environ une centaine de familles dans son réseau.
Nos convictions
Lorsqu’ils se trouvent en pleine nature, loin des murs et du bruit rebondissant, les enfants sont libres de leurs mouvements et peuvent ainsi créer un environnement propice au “vivre-ensemble”. Ils retrouvent leur sérénité, leurs aptitudes en matière de communication et peuvent développer leur créativité. L’association Lilocabanes offre également un accueil aux enfants ayant des besoins spécifiques, en mettant l’accent sur l’ouverture à la différence et en cherchant à offrir un accès à la nature au plus grand nombre.
Le projet 
Le projet a débuté en avril 2023 grâce au soutien de la Fondation CYRYS. 
Nous avons collaboré avec l’AMO Globulin, le Centre Croix Rouge d’Yvoir et les différents centres d’hébergement (SRG) du territoire pour accueillir une vingtaine d’enfants issus de divers milieux de vie lors de nos activités d’éveil par la nature.
Chaque mercredi après-midi, nous proposons des activités d’éveil en lien avec la nature, adaptées à chaque groupe d’âge. Notre objectif est de proposer un espace d’expression, de créativité, de liberté, de temps d’amitié, d’échanges, d’inclusion et d’intégration pour les enfants dès leur plus jeune âge. Une fois la confiance établie nous intégrons ces enfants dans nos stages durant les vacances scolaires. 
La nature, un véritable outil d’épanouissement, nous aide dans notre mission d’éveiller les enfants à eux-mêmes, aux autres et à l’environnement.

Objectifs  

1. Augmenter les places disponibles pour les activités extrascolaires destinées aux enfants issus de milieux fragilisés (en ateliers et en stages)
2. Assurer le financement de nos activités de juin 2023 à décembre 2025.
3. Elaborer des ateliers « Parents-enfants » pour connecter les familles à la nature.
4. Organiser deux journées thématiques pour les familles intitulées « Tissons des liens – créons des souvenirs », répondant aux besoins spécifiques des parents. 
5. Renforcer les compétences des jeunes en animation grâce à la Pédagogie d’éveil par la nature.

Ensemble ! 
Le respect de la nature, de soi et des autres, le partage et la joie d’apprendre, l’expression et l’autonomie, la liberté et la paix sont des valeurs qui nous unissent. Si vous aussi vous portez ces valeurs dans le respect mutuel de chacun, rejoignez-nous en votant pour le proje n°16 ! Merci.

”Liens vivants” est porté par Patricia Donck et Virginie Baudson (asbl les 4 directions). Nous co-animons des journées depuis 2 ans avec succès. Nous avons des parcours et des compétences qui se complètent bien. Nous sommes persuadées de la richesse pour les participants d’animer ces journées à 2.

Nous souhaitons réveiller en chaque participant.e. son intelligence première de la nature et ouvrir tous ses sens à celle-ci. Développer l’habileté à utiliser les sens pour mieux comprendre l’interdépendance de la toile de la vie. L’objectif ultime étant de mieux connaître la nature et, par-là, de mieux la préserver.

Nous utilisons la curiosité comme moteur d’apprentissage. De manière générale, notre posture en tant qu’accompagnatrice sera de poser des questions pour éveiller l’envie de savoir plutôt que de donner des réponses immédiates.

Lors de ces journées / bivouacs / stages, nous pratiquons ce que nous appelons des routines de connexion. Il s’agit de pratiques qui, répétées, se changent en habitudes capables d’influencer nos perceptions et nos comportements.

Par exemple, apprendre à écouter les chants des oiseaux, leurs cris d’alerte, cela nous renseigne sur ce qu’il se passe dans la forêt. Une autre routine consiste à avoir un endroit à soi dans la forêt. Un endroit à visiter 15 à 20 minutes dans la journée. Il sert de point d’observation. Petit à petit, nos sens nous éveillent à des éléments que nous n’avions pas repéré au départ. Des micro-événements (une araignée a tissé sa toile devant moi !) deviennent des histoires à raconter à tout le groupe. Car cette routine d’observation depuis son endroit personnel s’accompagne d’une autre routine : celle du partage des histoires vécues. Cela renforce ce qui a été vécu mais aussi le sentiment d’appartenance à un groupe, à sa famille. En écoutant l’histoire des autres, l’écoute profonde et le sentiment d’empathie peuvent émerger. D’autres pratiques comme exprimer ses gratitudes, apprendre à lire les traces et indices des passages d’animaux (le pistage), cartographier, mimer les animaux, la méditation sensorielle, écouter le langage des oiseaux, l’errance, le bushcraft, la recherche dans des guides naturalistes, … rythment tour à tour nos journées.

Concrètement, nous projetons d’organiser :

• De septembre 2024 à juin 2025, en semaine : quatre journées par mois pour un groupe
  d’une quinzaine d’enfants. Cela fait environ 40 journées sur l’année 2024-2025.
• De septembre 2024 à juin 2025, le week-end: 3 Bivouacs en forêt sur l’année à destination
  de 10 à 12 enfants de 6 à 15 ans.
• De septembre 2024 à juin 2025, le dimanche: 5 journées sur l’année, destinées aux
  familles, dont 1 bivouac sur 2 jours. Octobre, décembre, février, avril, bivouac en mai-juin. 4
  familles maximum avec engagement souhaité pour l’ensemble des journées.
• 3 stages de 3 jours pendant les vacances scolaires à destination d’enfants de 6 à 13 ans.

Le financement proximity nous permettrait d’ouvrir le projet liens vivants à plus d’enfants et de familles, en les soutenant financièrement et en leur prêtant du matériel. Nous avons à coeur que ces temps de connexion à soi, les autres et la nature soient possibles pour toutes et tous.

Groupe citoyen qui désire susciter et promouvoir une réflexion, un mouvement et des actions concrètes sur le territoire d’Hastière afin de répondre aux défis qui nous attendent tous : Transition énergétique, environnementale, alimentaire, écologique, sociale et personnelle.

Le projet se décline en deux axes.
Le premier vise à nourrir le groupe pour améliorer son fonctionnement interne en termes de communication non violente, de gouvernance partagée, de facilitations des réunions et d’organisation horizontale.
Le second axe consiste à acquérir en tant que groupe des techniques liées à la transition afin de transmettre savoirs, savoir-faire et savoir-être sur les grandes thématique de ce mouvement (climat, biodiversité, autonomie, énergie, zéro déchet, alimentation, …). Pour les sujets pour lesquels le groupe Hastière-en-Transition ne saurait s’approprier les compétences en se formant lui-même (ou à cause de contraintes matérielles), nous envisageons de faire venir les structures et personnes compétentes pour offrir ces formations aux citoyen.ne.s de notre territoire.

Vents d’Houyet académie c’est une petite équipe d’animateurs nature passionnés qui organisent des stages de vacances, des classes vertes et des animations scolaires afin de sensibiliser les enfants à la nature, à l’environnement, au développement durable et aux énergies renouvelables.

Notre site se trouve à proximité de Mesnil Eglise, au pied de l’éolienne des enfants, près d’une zone Natura 2000. Il bénéficie d’une contenance de 33 ares et dispose actuellement de 2 yourtes, de toilettes sèches, de panneaux solaires, d’un compost, d’un four en torchis et d’une cabane. Pour enrichir notre terrain en biodiversité et aller plus loin dans nos actions de sensibilisation auprès des jeunes générations nous avons ciblé les objectifs suivants :

• Planter 100 m de haie simple et 100 m de haie double et de petits fruitiers qui offriront un beau refuge pour les oiseaux et nous donnerons la possibilité de faire de la vannerie ou encore de la cuisine sauvage
• Créer un portail d’accès à la prairie complètement végétalisé
• Clôturer notre prairie d’animation afin de permettre la gestion écologique de notre site par le pâturage des brebis de la bergerie voisine
• Installer un carré de plantes tinctoriales et aromatiques
• Disposer des perchoirs à rapaces
• Disposer des nichoirs à oiseaux et abris pour la faune sauvage
• Disposer une tente inuit servant d’ombrage ventilé en cas de fortes chaleurs.

Nous réaliserons ces différents aménagements à travers des chantiers participatifs et familiaux. Tous les enfants qui viendront par la suite en bénéficieront aussi.

Bref, un projet pour une nature préservée, des enfants conscientisés…Émerveillés !

Yvoir porte ses fruits est l’une des initiatives lancée par le collectif « Y Voir Transition ».
Les objectifs sont de : 

• créer des vergers collectifs (ou partagés) et/ou redonner vie à des vergers abandonnés dans les villages de la commune d’Yvoir. 
• réintroduire la culture d’arbres fruitiers en verger haute-tige et de petits-fruitiers, aujourd’hui en voie de disparition,
• réintroduire des espèces fruitières et petit-fruitières locales anciennes et résistantes comme les noix et noisettes, la reine-claude, la prune de Namur, la mirabelle, la cerise bigarreau, la groseille à maquereau, le cassis, la framboise, etc.
• reconstituer autour des vergers, des haies composées d’arbustes indigènes,
• y associer un ou plusieurs projets connexes de petit élevage et/ou d’apiculture, de valorisation des fruits récoltés, plantation de houblon et microbrasserie pédagogique (fabrication de jus, de confitures, etc.),
• créer une dynamique collective de cohésion sociale dans nos villages.

Le premier verger a été planté à Evrehailles en octobre 2019 et le second à Yvoir en novembre 2020. 
Nous sollicitons un subside à la fondation Cyrys/ BE-planet afin de poursuivre le travail débuté.
Notre objectif est de remplacer les arbres morts et de poursuivre les aménagements sur les terrains afin de rendre les lieux plus conviviaux.

Le potager des liens. Un lieu nourricier, social et éducatif.
Pourquoi ?
En ces temps de crises, nous tous et plus encore les jeunes et les personnes en situation de fragilité, nous avons besoin d’imaginer et de construire un avenir. Le construire ensemble. L’imaginer optimiste.
Ensemble, nous pouvons échanger, partager, construire, agir !
Qui, quoi et où?
L’association des anciens du collège de Godinne s’est lancée dans ce pari optimiste de la transition. Une transition au sein du collège et une transition pour et avec le territoire environnant: c’est dans ce cadre que nous avons décidé de refaire des terres qui entourent le collège un lieu nourricier et de biodiversité ouvert à tous. En ce mois de janvier 2024, les élèves du collège ont planté les 41 premiers fruitiers d’un verger.
A quelques pas de là, un autre projet sort de terre: le potager des liens. Imaginez donc un grand potager entouré de haies où poussent légumes, petits fruits et fleurs. Du verger aux haies, les fleurs bourdonnent d’abeilles. Et du côté des légumes, ça bourdonne de rires…Pas étonnant, le potager est un lieu de partage et de transmission.
Comment ?
Le potager par son caractère nourricier, social et pédagogique permettra de tisser des liens à la terre, à soi et aux autres.
Volet nourricier. Des légumes de saison seront cultivés de manière naturelle, sans aucun produit chimique, avec une attention particulière au retour d’une biodiversité abondante. Le travail de la terre se fera avec un recours minimum aux énergies fossiles et maximum à la solidarité. Les gourmands pourront acheter les légumes via un système d’abonnement en autocueillette. Via le réseau Radis, une partie de la production servira aussi aux potages collations d’écoles de la région.
Volet social. Des personnes en situation de fragilité, des stagiaires, des bénévoles…prendront soin du potager avec la maraîchère. La reconnexion à la terre a des bienfaits sur la santé physique et mentale. N’oubliez pas que dans le sol se trouve la bactérie du bonheur : la Mycobacterium vaccae.
Le terrible gang des compagnons maraîchers est en devenir…
Volet éducatif. Nous voulons donner l’accès à des savoirs terrestres en proposant peu à peu des ateliers potagers, de cueillette et cuisine de plantes sauvages, de conception de jardins nourriciers en permaculture et de conservation des aliments. Vos idées et savoirs seront les bienvenus ! Ateliers à destination des publics scolaires et des familles. Les mains dans la terre, agir pour construire un autre monde et non pas agir contre un monde.
Une histoire de tuyaux !
Nous avons besoin de votre soutien pour raccorder nos tuyaux : c’est-à-dire mettre en place le système d’irrigation. L’eau est précieuse et capricieuse: sécheresse et inondation se succèdent. Stocker l’eau dans des citernes pendant les périodes de sur-abondance permet de passer à travers les épisodes de sécheresse. Une irrigation bien conçue permet de libérer un temps de travail considérable (1 jour par semaine en pleine saison) et en association avec le paillage des sols, elle permet d’économiser de l’eau.

La Halte des Marmozets est un projet porté par le comité du village de Ciergnon. Il concerne l’aménagement d’une parcelle communale du village et a pour ambition dynamiser la vie locale tout en favorisant l’attrait touristique du lieu, proche du Ravel et du P’tit Bambou.
L’aménagement de la parcelle est pensé dans son ensemble et divisé en plusieurs phases. La première consiste à développer un espace pique-nique composé de plusieurs tables et bancs, d’un barbecue, d’un four à pain traditionnel, d’une boite à livres, d’un tableau, de poubelles, le tout recouvert d’une pergola.
Mettre à disposition des citoyens un espace de rassemblement extérieur aménagé permettra de créer du lien social tout au long de l’année, en dehors des évènements ponctuels organisés par le comité. Il améliorera la qualité de vie des habitants et favorisera l’intégration des personnes isolées et nouveaux arrivants. Des activités pourront y être organisées, par le comité mais également à l’initiative des citoyens comme barbecue, tournoi de pétanque ou encore ateliers pains/pizzas.
Tout proche du cours d’eau et d’une zone naturelle protégée, le comité est soucieux d’intégrer ce projet dans une démarche environnementale : un système de récupération d’eau de pluie sera mis en place, des nichoirs seront installés pour favoriser le développement de la biodiversité et le circuit-court sera favorisé avec l’utilisation de matériaux naturels et/ou recyclés du coin et le recours à des entreprises/artisans du village ou des environs.

La Forêt Ambulante est un projet de l’asbl Les petits ruisseaux. On prend un tipi, des outils pour travailler le bois, quelques livres, une bouilloire, une vieille poêle ; on ajoute des jeux, des histoires, des traces d’animaux et des plantes sauvages à déguster ; et on installe tout cela autour d’un feu, dans une forêt par ici ou un petit bois par là-bas … La Forêt Ambulante est un atelier-repaire à outils-bibliothèque-cuisine itinérant, qui accueille petits aventuriers et grandes exploratrices, de tout âge, pour des journées de découvertes de la forêt.  

Jusqu’à présent, entre ici et là, c’est en voiture que se déplaçait la Forêt Ambulante. Cette année, elle a envie de déambuler … à bicyclette. Oui, oui, à bicyclette ! Il nous paraît essentiel que la simplicité joyeuse et résiliente proposée par le projet de la Forêt Ambulante puisse se vivre jusque dans nos déplacements. 

On a donc imaginé une caravane-cabane qui pourrait être tirée par un vélo. Deux artisans des Ateliers Triplan nous l’ont dessinée…. Avec votre soutien, l’aventure nomade et légère de la Forêt Ambulante peut continuer !

Que nous réserve l’avenir ? Beaucoup d’entre nous se posent la question, inquiets des conséquences concrètes pour eux-mêmes et leurs proches, de réalités globales aussi diverses que la pandémie Covid, la guerre en Ukraine, les enjeux climatiques ou numériques. Inquiets aussi des difficultés en matière d’emploi, d’accès aux soins de santé et à l’éducation ou de la précarité qui touche un nombre croissant de personnes et de familles. 

Pour répondre à ces questions, il est essentiel de bien comprendre les sociétés dans lesquelles nous vivons, les mutations qui sont en cours et les liens entre tous les rouages, proches ou distants, d’un monde de plus en plus complexe dont on se demande parfois qui en assure encore le pilotage. Les Rencontres de Furfooz ont pour objectif de nous permettre de mieux appréhender les enjeux sociétaux, d’identifier et d’anticiper les conséquences des évolutions dans tous les domaines pour nous aider à prendre, quand il en est temps, les meilleures décisions pour l’avenir. Et ce grâce à la rencontre et aux échanges avec des personnalités dont l’expérience et les parcours de vie sont autant sources de réflexions que d’enseignements. 

Notre ASBL, Rêvons papillons, propose une journée d’animations et d’informations centrée sur la biodiversité proche de nous, avec son environnement direct. Les papillons en sont les bioindicateurs.  
Constatant le déclin des populations de papillons, nous avons décidé d’agir pour réintroduire de la biodiversité dans les jardins, en passant par la mise en avant des plantes sauvages indigènes.  
Il nous tient également à cœur de créer des synergies avec d’autres associations locales, invitées à partager leurs savoirs et leurs actions. 
Ainsi, un jeu de piste vous emmènera à travers le quartier à la découverte de jardins-modèles parsemés d’animations pour petits et grands. Nous profiterons de la biodiversité d’un jardin sauvage pour cuisiner les plantes qui poussent naturellement et qui raviront les palais les plus exigeants. 
Tout visiteur sortira de la journée nature avec des clés concrètes d’actions sur son environnement direct et pourra, plus tard, admirer le vol léger des papillons multicolores.  
L’accès à la journée est gratuit. 
Cette journée se veut devenir le rendez-vous annuel d’un point de départ d’une synergie locale autour de la recrudescence de la biodiversité en terres dinantaises. 

Natagora Entre-Meuse-et-Lesse a pour mission de protéger la nature, avec un objectif majeur : stopper la dégradation de la biodiversité et restaurer un état optimal de la nature en harmonie avec les activités humaines. Les bénévoles de la Régionale sont actifs dans les communes d’Anhée, Onhaye, Hastière, Yvoir, Dinant, Hamois et Ciney.

L’ambition de Natagora est de restaurer une mare à Thynes, commune de Dinant, mise à notre disposition dans le but d’en faire une zone pédagogique. Cela permettra de sensibiliser à la vie autour de la mare et d’encourager une nouvelle connexion avec la nature.

Étant donné l’état dégradé de la mare, nous prévoyons de la curer, ce qui engendre des coûts importants. En outre, nous souhaitons aménager un sentier pédagogique et installer un ponton d’observation de la faune et de la flore. Nos bénévoles organiseront des ateliers en collaboration avec des écoles et assureront l’entretien de ce site remarquable.

Natagora bénéficie déjà du soutien de la ville de Dinant et de l’école primaire de Thynes pour ce projet. Nous espérons également pouvoir compter sur votre soutien, car sans votre vote, la restauration et la valorisation éducative de la mare ne seront pas possible